Ils étaient tous deux seuls, oubliés là par l’âge…
Ils promenaient toujours tous les deux, à longs pas,
Obliquant de travers, l’air piteux et sauvage…
Et deux pauvres regards qui ne regardaient pas.
Ils étaient tous deux seuls, oubliés là par l’âge…
Ils promenaient toujours tous les deux, à longs pas,
Obliquant de travers, l’air piteux et sauvage…
Et deux pauvres regards qui ne regardaient pas.